Nous avons plusieurs fois insisté : tous ces cheminements sont une multitude d’aller-retours entre différentes étapes. Et comme nous venons toucher à nos représentations du monde, nous ne pouvons pas vraiment dire qu’il y aurait une étape de conclusion. La dernière étape n’en est donc pas vraiment une.
Lors des ateliers, nous essayons de proposer de nouvelles postures, de nouvelles manières d’être et de faire afin que chacune et chacun puissent déployer de nouvelles puissances d’agir. Il nous semble donc important de mettre en évidence que la démarche se poursuit en dehors des ateliers, qu’elle est itérative et fait de multiples aller-retours entre la description, l’enquête, l’agir, les transformations personnelles et collectives, etc.
On n'est pas tout seul !
Il peut arriver que des personnes se sentent seules et isolées face à leur concernements et leurs affects.
Il nous semble important de mettre en avant que nous ne sommes pas seul.e.s et que de multiples groupes, collectifs, personnes, associations, traitent ce type de questionnement. C’est la raison pour laquelle dans cette dernière phase nous conseillons d’utiliser l'exercice : On n’est pas tout seul.e.
Vers un projet commun ?
En fonction du groupe, des personnes et des objectifs des ateliers, il y a plusieurs possibilités pour clôturer les ateliers. Vous pouvez terminer sur une phase d’ouverture où chacun.e poursuit le travail de son côté et des ses collectifs. Ou bien encore essayer de trouver des concernements communs dans le groupe et creuser l’enquête et l’agir au niveau collectif. Nous proposons à l’animation de sentir et de proposer une clôture qui permet de continuer la métamorphose vers le terrestre*.
Vous trouverez les ressources d'animation adaptées à chaque cycle dans la section cycles d'animation